Création-récréation...
Décembre 2005
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- Affichage autorisé : 8 poètes sous 8 pochettes transparentes en PVC, c'est la nouvelle collection des éditions Contre-allées. Cette présentation originale permet à chaque auteur de s'exprimer dans l'espace d'un format A3 soigneusement plié en quatre. Les élus des muses de la rue Mizault se nomment Franck Cottet, Laurent Dhume, Franck Doyen, Nicolas Jaen, Emmanuèle Jawad, Armelle Leclercq, Stéphan Riegel et Magali Thuillier. |
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- Jacques ROUBAUD & Olivier SALON : SARDINOSAURES & Cie Ces réjouissantes variations autour du bestiaire sont conçues à partir de mots-valise qui s'ouvrent sur tous les délires : on trouvera ici tout ce qu'on peut imaginer sur le sardinosaure, les hibouleaux, la panthermite, le léoparesseux, la mantilope religieuse, le limastodonte, l'élangouste, etc. On apprend par exemple que "la caïmandarine est succulente mais dangereuse." Il ne reste plus qu'à mettre en images cette surprenante assemblée de chimères.
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- Louis SAVARY : Mots de passe Ce nouveau recueil d'aphorismes vient s'ajouter à la jolie collection constituée par Louis Savary, dans une veine qui, chez lui, semble inépuisable. Ces épigrammes tournent cette fois-ci autour des mots eux-mêmes, dont ils font dérailler le ronronnement habituel. À force d'attention, Louis Savary parvient à leur faire dire un peu plus que ce que nous savions déjà d'eux : "à l'écoute des mots, on s'immerge sans fin dans les rêves du monde"
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- Jacques CANUT : Eros crépusculaire (illustrations de Claudine Goux) - Enigmas/ Enigmes (édition bilingue) "Où emmener sa solitude pour l'oublier ?" se demande le poète. Il l'emmène en voyage au pays des mots, au pays des amours passés, au pays des désirs intacts, mais les cartes postales qu'il nous envoie de Là-bas ne cachent pas au lecteur qu'Eros au crépuscule est bien désemparé et ne sais plus guère où tirer ses flèches.
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- Le Nouvel ATTILA n°Hun et n°2 En se plaçant sous l'irréfutable parrainage de Victor Hugo ("À bas les Washington, vive les Attila ! Il y des gens d'esprit pour soutenir cela") Le Nouvel Attila veut mettre le feu aux champs endormis de la critique. Au diable les auteurs à la mode et les derniers succès de l'édition, c'est au delà des barrières de l'actualité et du bon goût qu'il veut aller découvrir les vraies richesses de la littérature. Allez-y voir : de Jacques Abeille à Topor, en passant par Baronian, Bettencourt, Brisset et bien d'autres, le butin du Nouvel Attila est déjà fabuleux.
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- Mot à Maux n°2 (juillet 2005) : Cette nouvelle revue de poésie lancée par Daniel Brochard, rassemble une jolie collection d'auteurs (pas moins de 19 pour ce numéro) et affiche de généreuses intentions : " A l'absurde, nous répondons avec une espèce de vitalité qui est notre volonté de paix, de justice et d'égalité. Nos poèmes sont des ponts, des perches tendues à celui qui n'a rien et qui vit dans la misère. Car enfin, quel est-il le poète sinon ce passeur , celui qui s'insurge et qui par ses actes et sa conscience agit ? " Mots à maux a aussi un blog que vous pouvez retrouver à l'adresse suivante : http://motamaux.hautetfort.com
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- L'ENFANCE n°2 : (novembre 2005) - L'Enfance se situe dans la continuité des démarches antérieures d'Ivar Ch'Vavar, avec un mélange de collaborations avérées (Sylvie Nève, Claude Vercey, Lucien Suel ) et de signatures inconnues ou repérées parmi celles des auteurs imaginaires. Premier plaisir : se plonger dans la diversité de ces écrits, y trouver ses repères. Second plaisir : apprécier les trouvailles, comme ce quatrain écrit par un enfant (?) chinois (?) de sept ans (?) au 7ème siècle (?) ou ces fatrasies arrageoises anonymes du 12ème siècle. Enfin, une lettre à François Leperlier sur Heidegger et Rimbaud, est une sorte de manifeste sur le rôle que peut occuper le poète dans la société industrielle moderne : "La poésie n'a pas avancé d'un pas depuis Ducasse, Rimbaud, Mallarmé ( ) Ces poètes viennent après Hugo, mais ils viennent aussi après Baudelaire. On est tombé du mage au paria. La "préséance" de la poésie s'est perdue, et désespérément ils la cherchent encore. Ils ne sont plus au monde, et il leur est loisible de voir que c'est parce que le monde les a laissés en arrière." À partir de ce constat, Ivar Ch'Vavar tente de situer sa propre quête et d'en formuler l'ambition : "Le poète n'est pas un créateur si le monument qu'il construit ne gronde pas sur son socle, et si ceux qui ont des yeux et des oreilles ne voient pas, n'entendent pas, ne ressentent pas dans toutes leurs fibres ce grondement."
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- Diérèse n°30 : (été 2005) : La plus copieuse des revues de poésie se distingue par un choix éclectique où le lecteur peut puiser à défaut de pouvoir totalement épuiser les richesses contenues dans ces 250 pages. On y lira notamment des textes de Christian Degoutte et Michel Pierre et des lettres de Jean Rousselot.
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Phil FAX
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Aout 2005
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- Albert HUMBERT : Cadavres sur cadavres. Pour amis rigolos de tous bords et amateurs de curiosités littéraires ! Extrait de la mirifique bibliothèque de Noël Arnaud, et préfacé par François Caradec, ce court roman feuilleton d'Albert Humbert (1835-1886) fut publié dans La Lanterne de Boquillon du 5 juin au 21 novembre 1869. Jamais réédité depuis, Cadavres sur cadavres, sous-titré Emotions à jet continu est un petit chef d'uvre de la parodie, qui moque gentiment le goût de l'époque pour les feuilletons et leur accumulation de ressorts dramatiques. Le héros d'Albert Humbert est un abonné du Petit Journal, que l'auteur va condamner à traîner le corps sans tête du méchant de l'histoire, Gorju l'Escorcheur, au long de quinze chapitres "où l'inouï ruisselle à chaque ligne". Les cadavres s'accumulent - on en compte déjà quatre-vingt-sept à la page 23 ! - et les rebondissements les plus incroyables nous entraînent dans une course éperdue qui se termine au n°41 de la rue de Bruxelles, chez Ponson du Terrail en personne ! L'improbable collaboration d'Alphonse Allais et d'Isidore Ducasse aurait donné quelque chose de ce genre: réjouissante lecture !
- Jean-Louis RAMBOUR : La nuit revenante, la nuit. Ce très beau texte déroute au premier abord, comme certains objets dont on ne sait pas exactement à quoi ils servent mais qui intriguent et séduisent, de façon aussi sûre qu'inexplicable. On hésite. On prend l'objet entre les mains, on le retourne. On le repose, puis on le reprend. Est-ce un long poème, ou une suite de poèmes ? Peu importe. Ces pages attirent, attisent. Elles se suivent et s'enchaînent comme les paysages, les souvenirs ou les images qui finissent par se mêler devant nos yeux et dans nos têtes. On entre dans le texte, on laisse rouler, et on a bientôt l'impression d'être sur l'autoroute, dans cette grande région picarde qui va de Péronne à Boulogne. La terre et le ciel sont immenses. On se laisse aller à rêver longuement entre les nuages, la lumière qui irrigue le paysage et le souvenir de moments vécus. Toute une vie sur " cette terre si veuve " défile en pensée. L'esprit flotte entre souvenirs, sensations, réminiscences, angoisses, joie et tristesse, et s'aventure dans cette contrée indéterminée où la conscience étonnée s'attarde sans mettre de mots sur les choses. Miracle ou mirage, la poésie de Jean-Louis Rambour nous restitue cet état de conscience. " Comme pour la vierge de Lourdes dans son globe, on agite des mots pour voir tomber la neige. Et c'est tout. "
- Lucien SUEL : Poèmes marcottés des quatre saisons. Colleur, bricoleur, jardineur Les talents du "poète ordinaire" qu'est Lucien Suel se combinent ici pour nous donner des "poèmes marcottés" - entendez un verdoyant parterre de quatrains qui essaiment à partir de fragments découpés dans des poèmes de Victor Hugo, Anna de Noailles, Jean Moreas et Paul Verlaine. Ces textes greffés sont plus que plaisants et donnent bien envie d'enfiler la blouse, le sécateur dans une poche et le crayon dans l'autre, pour tenter soi-même quelques boutures.
- Aiguillages immédiats - "Le ronronnement du chat se mêle à celui de l'ordinateur" dans cette "compil" des débuts (1998-2002) de la revue Contre-allées.
- Jacques CANUT : Tri (illustration de Claudine Goux) - Maison de je (collage d'Acacio Puig). Ces "carnets confidentiels" nous invitent à partager le plaisir que prend l'auteur à voguer au fil des mots. Les yeux grand ouverts derrière un "pare-brise auréolé d'enchantement", on embarque avec lui pour de courts voyages sur l'océan d'une page blanche où chaque phrase compte pour une merveille. On y cède "aux clins d'il de virtuelles béatitudes", et on en revient avec une part de rêve.
- Revue OZILA n°0 et n°1 : Ozila est bien plus qu'une revue, c'est d'abord une rencontre. Celle de deux continents, l'Afrique et l'Europe. Celle des textes et des auteurs chaleureux que sont Ada Bessomo, Man Ekang, Roger Mba Nkoto, Ed Essi et du groupe du Vaste Songe. C'est avec justesse que Guy Ferdinande a pu écrire dans sa Bouquinerie moderne : "Il émane de Ozila, qui est d'abord la revue d'un groupe, une tonalité lyrique, parfois au couteau, au fond de laquelle l'âme du romantisme rougeoie toujours." Le cercle d'Ozila est composé d'authentiques poètes et de lecteurs attentifs qui veulent faire entendre une voix différente, émancipée du "mal africain" (longuement analysé dans un éditorial de Jean-Pierre Yetna). Une approche vivifiante de la littérature, qui récuse les fatalités issues de la "dictature du passé" et donne à la poésie sa vraie fonction, celle de réinventer le monde et la vie.
- Daniel MARTINEZ : Le système de Véga de la lyre. Animateur de la revue Diérèse, Daniel Martinez a fait tirer à une petite centaine d'exemplaires ce long poème bleu qui nous emmène loin, bien loin de nos grisailles pâlement éclairées par une étoile mineure.
- DIERESE n°28, 29, et 30 : Rendre compte d'une revue aussi généreuse que Diérèse est une véritable gageure : chaque numéro comporte plus de 250 pages et offre au lecteur une grande abondance de textes inédits, de chroniques, de lettres et l'illustrations. C'est une mine où les pépites abondent, au point que parfois on est tenté d'en délaisser certaines pour ne retenir que celles qui brillent le plus.
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COMME UN TERRIER DANS L'IGLOO n°71
: Georges HASSOMERIS : Icône(n)eries - n°72 : Francis GIRAUDET
: Mémoires inférieurs. - n°74 : Les DE/MAILLEUSES
: ,comme ça, au hasard la nuit. - n°75 : François
HUGLO : Le risque de lire (Jacob, Follain, Cadou, Rousselot).
- DECHARGE n°126 (juin 2005) : C'est avec un plaisir certain que j'ai lu ce numéro, intégralement. J'ai particulièrement apprécié le récit que nous fait Michel Perdrial d'un samedi après-midi de lectures où chacun est en représentation et où personne n'écoute les textes des autres. Léopardi avait déjà décrit ce genre de scène, mais toutes les lectures, fort heureusement, ne ressemblent pas à cette caricature. Jean L'Anselme fait également ici une nouvelle tentative pour définir l'humour, tout en reconnaissant que c'est impossible.
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Jean-Michel ROBERT : Le démineur distrait (Polder 125)
" Quatre vers tout nus et une étonnante polysémie
" note Alfonso Jimenez en présentant les quatrains de
Jean-Michel Robert. Avec lui, l'art du poème court grimpe jusqu'aux
sommets de l'Himalaya, et l'on aimerait avoir écrit des lignes
comme celles-ci avant d'aller dormir :
- Louis SAVARY : La Mort-passion. "Cet opus passionnel ne veut rien dire des choses que nous n'aimons pas entendre" indique la dédicace que Louis Savary m'adresse avec son nouveau livre, le 15ème en cinq ans. Si la mort en est le sujet central, ce n'est moins l'amour-passion qui s'y dresse entre l'être et le néant, que la barrière de l'humour et des mots.
- ESTUAIRES 2005 : Le Mur. La revue luxembourgeoise Estuaires inaugure une nouvelle orientation éditoriale avec cette première anthologie consacrée au Mur, un livre de 200 pages où s'expriment 26 auteurs, parmi lesquels Lucien Blau, Alain Jegou et Jean-Michel Aubevert. L'année prochaine, la collection abordera deux autres thèmes caractérisant notre époque : l'errance et les passeurs.
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- Pierre PRESUMEY : Un pas à la fois : C'est un tout petit livret, carré cartonné de 10 cm, mieux qu'un livre de poche, plutôt un livre de main ou même de "paume". L'auteur n'hésite pas à y utiliser le "je" mais ce qu'il nous restitue de lui peut émouvoir chacun de nous, qu'il s'agisse d'un rêve qu'il abandonne car "on doit laisser les fleurs pousser au fond des rêves", d'une image perçue en passant sous un pont d'autoroute, des haies dans les plaines, "ces simulacres d'horizon", ou encore d'"une sorte de haricot aristocratique". Un univers de terrien, qui garde les pieds sur la glèbe (comme dirait Péguy auquel il fait allusion plusieurs fois) à un moment (octobre 2001) où la planète résonne de "tout ce grand fracas" Une belle brassée de tendresse et d'espérance récoltée dans le quotidien!
MARIE GROËTTE
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Mars 2005
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- Lucien SUEL & Christoph BRUNEEL : Duodâne " Que j'aime la chatte de limace ! " Hééénnorme, hallucinant, alléchant, Duodâne est le fruit de la collaboration entre deux poètes ordinaires que rassemble leur goût pour le choc des mots et leur amour de la belle ouvrage. Inséré dans un numéro de la revue espagnole La*Renaisensa, diari de catalunya de 1883 ou 1884 (non coupé), pressé et cousu à la main, signé et numéroté, ce livre d'artistes nous transporte aux antipodes des produits de consommation banalisés de l'édition courante.
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- Signalons la parution du très beau n° 78-79 de la revue-livre Plein Chant consacrée à Ivar Ch'Vavar, un "Horrible Travailleur" célébré par ses amis & complices, plus de 180 pages bien tassées, avec fac similé de "Jour de Glaire" et de poèmes d'Evelyne "Salope" Nourtier en sus ! Participations de Philippe Blondeau, Jean-Marc Aubert, Magali Azéma, Hélène Bacquet, Stéphane Batsal, Yves Bonnefoy, Charles-Mézence Briseul, Daniel Compère, Yves Di Manno, Jean-François Egéa, Françoise Favretto, Pierre Garnier, Laurent Grisel, Alain Jégou, Isabelle Krzywkowski, Jacques Landrecies, Gilles Laprévote, Jean Le Boël, François Leperlier, Bernard Noël, L. Suel, Thomas Suel, Michel Valprémy, Lucien Wasselin et bien sûr Ivar Ch'Vavar lui-même. L'ensemble est passionnant... Lucien Suel
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- Louis SAVARY : Misanthrope ma non tropo. Sous l'habit du misanthrope, l'auteur s'en prend tantôt au lecteur, tantôt à l'humanité entière et souvent à lui-même Ces sentences trempées d'humour sonnent juste, dans leur impertinence : "Ce ne serait quand même pas mal que nous couchions une fois ensemble pour essayer de nous dire quelque chose" ; "Donnez le meilleur de vous-même, c'est le geste qui compte"
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- Katherine L. BATTAIELLIE : J'ai peur. La collection Pré # carré, c'est 5 livrets par an, petits carrés minuscules et élégants. Le dernier paru, "J'ai peur", commence par le mot "bonjour" et se termine par "j'ai peur que tu me dises je ne t'aime plus". Un petit concentré d'angoisses.
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- François HUGLO : Métamorphose du voyageur à travers la poésie et les essais d'André Miguel. Auteur d'un essai remarqué sur Jean Rousselot paru au Dé bleu, François Huglo rend ici hommage au poète des Chants de l'air et du labyrinthe.
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- L'ECHAPPEE BELLE n°12 spécial "invités" (nov. 2004) : Pour le 12ème numéro de cette revue obstinée (8 années d'existence), ses invités (Jacques Canut, Alain Jégou, Lucien Wasselin, Michel Valprémy, JF Dubois, Philippe G. Brahy ) offrent à la belle échappée des Monts des Flandres un superbe bouquet de fleurs sensuelles.
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- REMUE-MENINGES n°31 : En édito, Pierre Schroven se saisit du Voyage à motocyclette, le film réalisé par Walter Salles Jr à partir des carnets de voyage du jeune Ernesto Guevara, pour revenir sur une idée insistante : "À l'heure où l'économie tend à séparer l'homme de ce qu'il pense, la poésie n'est-elle pas à même de prendre le contre-pied de ce siècle de résignation ? ( ) Face à l'injustice sociale, ne peut-elle pas nous aider à accéder chaque jour à un rêve qui s'épanouit dans la vie réelle ? "
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ROCK & LOVE n°1 :
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- LA LETTRE
DE SORTIE de secours n°16 :
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- LIBELLE n°153 (janvier 2005) ; n°154 (Février 2005) : Edité sur 6 pages en A5, Libelle est le haïku des revues de poésie. Deux feuilles, une enveloppe
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- TRACES n°156 (hiver 2004/5) : Fondée par Michel-François Lavaur en 1954, Traces nous livre, un peu en vrac, une profusion de textes parmi lesquels j'ai repérés les noms de Michel Pierre, Jacques Canut et Stephan Alves (pour un poème touchant de candeur : "Que ma femme est belle quand tombent ses dentelles").
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Décembre 2004 |
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